Nashville Pussy - Perpignan le 22/07/2006
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Diane elle est au Nord
darquos
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Nashville Pussy - Perpignan le 22/07/2006
Arrivé très tôt sur les lieux dans l'espoir de voir quelques acolythes et me taper quelques bières avant le show en leur compagnie. Pour les bières, c'était ok, j'avais prévu, mais pour les potes, il aura fallut attendre quelques heures pour les voir débarquer. Heureusement, j'avais la compagnie de quelques "nouveaux" metalleux du coin pour me faire patienter
21h30, après l'arrivée de Giem, Mylène, Karine, Petit Calamar, DIane, Laurent et Gaëlle de MDU) et encore pas mal d'autres, on s'est enfin décidé à gravir les imposantes marches du sublissime Palais des Rois de Majorque. Arrivée sur place, la surprise était totale ! En effet, le concert n'allait pas se faire dans le thêatre comme je le pensais, mais sur les merveilleux jardins du palais ! Un luxe qu'ils nous ont offert là les politicars de notre cher département !! Et merci Béa de t'être démerdé à obtenir ce cadre pour accueillir les Nashville !
Le premier groupe, appelé 'Cool cleps' fut très inattendu... Imaginez une femme et un pauvre gars seuls sur scène avec comme instrument une grat, un clavier qui rendrai jaloux Jim Morrison et un tambourin en guise de caisse claire et un autre pour la grosse caisse, manipulés soigneusement par les deux jambes de la femme au clavier.. Disons que ça ne payait vraiment pas de mine... Mais bon, ils ont enchainé pas mal de morceau très rock 'n' roll, punk et garage... pour finir en beauté avec une reprise des Stooges en compagnie des musicos de Nashville !! Ils sont pas prêt d'oublier ce concert eux :D
Enfin, les Nashville montent sur scène après pas mal de temps d'attente (ce qui me permis remarque de me boire quelques bières de plus). Pendant l'attente, hors de question de me faire piquer ma place au premier rang. Heureusement, avec Gaelle, on se relayait pour aller à la buvette :D Quel feu !! Quel énergie dégagé sur scène !! Faut voir la belle Ruyter Suys avec son corps aussi impressionnant que son jeu de guitare Etant au première rang, vous pensez bien, j'ai eu le droit à mon petit lot de gâterie : Tête entre les jambes de la belle, ses sandiagues sur mon épaule pour qu'elle puisse prendre une pose très "Rock'n'roll', petites tapes sur ses fesses... bref, j'était aux anges ! Grand concert, beaucoup de vivacités dans le public, tout était parfait sauf...
Pas le droit de slammer, mais certains, comme Yves, prenait le gauche, et ils avaient bien raison, à condition bien sur de ne pas en abuser.. Mais vous connaissez tous Yvres... L'abus, c'est sa spécialité... Ben là, ça lui a joué un mauvais tour, car 4 videurs l'ont aidé bien gentillement à monter sur scène en le prenant par la tignasse et l'ont expédié, clé de bras compris à l'extérieur du chateau... Un autre gars réussit un slam et là, c'est le chanteur Blaine Cartwright en le traitant de tous les noms et lui demandant de venir le voir dans les backstage après le concert, surement pas pour lui sucer la bite...
Enfin voilà, bravo à l'organisation et merci pour cette soirée Comment ? J'oublie un groupe ? Ah oui, le groupe que la fille a annoncé sur scène juste après Nashville en disant "La soirée continue en metal avec les Civil War" ! Ben sans moi lol
Bonne cuite à vous tous et à bientôt
21h30, après l'arrivée de Giem, Mylène, Karine, Petit Calamar, DIane, Laurent et Gaëlle de MDU) et encore pas mal d'autres, on s'est enfin décidé à gravir les imposantes marches du sublissime Palais des Rois de Majorque. Arrivée sur place, la surprise était totale ! En effet, le concert n'allait pas se faire dans le thêatre comme je le pensais, mais sur les merveilleux jardins du palais ! Un luxe qu'ils nous ont offert là les politicars de notre cher département !! Et merci Béa de t'être démerdé à obtenir ce cadre pour accueillir les Nashville !
Le premier groupe, appelé 'Cool cleps' fut très inattendu... Imaginez une femme et un pauvre gars seuls sur scène avec comme instrument une grat, un clavier qui rendrai jaloux Jim Morrison et un tambourin en guise de caisse claire et un autre pour la grosse caisse, manipulés soigneusement par les deux jambes de la femme au clavier.. Disons que ça ne payait vraiment pas de mine... Mais bon, ils ont enchainé pas mal de morceau très rock 'n' roll, punk et garage... pour finir en beauté avec une reprise des Stooges en compagnie des musicos de Nashville !! Ils sont pas prêt d'oublier ce concert eux :D
Enfin, les Nashville montent sur scène après pas mal de temps d'attente (ce qui me permis remarque de me boire quelques bières de plus). Pendant l'attente, hors de question de me faire piquer ma place au premier rang. Heureusement, avec Gaelle, on se relayait pour aller à la buvette :D Quel feu !! Quel énergie dégagé sur scène !! Faut voir la belle Ruyter Suys avec son corps aussi impressionnant que son jeu de guitare Etant au première rang, vous pensez bien, j'ai eu le droit à mon petit lot de gâterie : Tête entre les jambes de la belle, ses sandiagues sur mon épaule pour qu'elle puisse prendre une pose très "Rock'n'roll', petites tapes sur ses fesses... bref, j'était aux anges ! Grand concert, beaucoup de vivacités dans le public, tout était parfait sauf...
Pas le droit de slammer, mais certains, comme Yves, prenait le gauche, et ils avaient bien raison, à condition bien sur de ne pas en abuser.. Mais vous connaissez tous Yvres... L'abus, c'est sa spécialité... Ben là, ça lui a joué un mauvais tour, car 4 videurs l'ont aidé bien gentillement à monter sur scène en le prenant par la tignasse et l'ont expédié, clé de bras compris à l'extérieur du chateau... Un autre gars réussit un slam et là, c'est le chanteur Blaine Cartwright en le traitant de tous les noms et lui demandant de venir le voir dans les backstage après le concert, surement pas pour lui sucer la bite...
Enfin voilà, bravo à l'organisation et merci pour cette soirée Comment ? J'oublie un groupe ? Ah oui, le groupe que la fille a annoncé sur scène juste après Nashville en disant "La soirée continue en metal avec les Civil War" ! Ben sans moi lol
Bonne cuite à vous tous et à bientôt
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Re: Nashville Pussy - Perpignan le 22/07/2006
Quel concert fabuleux! Un moment de jouissance rare et bienvenu!
Re: Nashville Pussy - Perpignan le 22/07/2006
... Malgrès la présence de quelques messieurs cherchant l'aventure de manière récurante!
Re: Nashville Pussy - Perpignan le 22/07/2006
NashvillE PussY, Perpignan, Palais des rois de Majorque, le 22.07.06
C’est dans un cadre atypique, les jardins de l’ancien Palais des rois de Majorque, que doit se produire ce soir, les Chattes de Nashville. Et, on peut dire que l’attente était grande, trois ans après leur dernier passage dans la cité catalane, au Crockmore. Autant dire, que nous sommes particulièrement chanceux; et que plus de 1.500 personnes n’ont pas boudé leur plaisir, se déplaçant, pour assister à la prestation, attractive, tant musicalement que visuellement: dans les deux cas, ça dépote sévère, mais nous y reviendrons...
A l’entrée du Palais, une pancarte, indiquait que le combo ricain aux mœurs légères, se produirait finalement en seconde position, au lieu de clôturer la soirée, laissant cette tache aux locaux de CiviL WaR. Le groupe sudiste devant jouer le lendemain en Hollande à 1.300 Km de là (drôle d’organisation...).
Rentré tôt dans les lieux, direction le bar, premières bières, et petite visite de la partie accessible du Palais, à la tombée de la nuit, ce qui lui procure un charme certain, lui ajoutant une part de mystère que ne peut lui offrir la lumière du jour.
C’est un groupe de la région orléanaise, CooL KlepS, qui entame les hostilités, même si dans son cas ce terme est plus qu’abusif; la prestation plate ne cassant pas deux pattes à un canard. Le binôme, constitué d’une nana au synthé, jouant la rythmique dans le même temps, aux pieds via une grosse caisse et un tambourin , et un gars à la gratte et au chant, avec cette désagréable impression durant la majorité du set d’entendre toujours le même morceau.
Retour au bar. Et comme souvent, c’est au moment où l’on s’y attend le moins que les bonnes choses arrivent: le chanteur prenant le micro à la fin du set annonce qu’ils allaient interpréter un morceau du plus grand groupe de RocK de l’histoire. Je me rapproche rapidement voyant des musiciens de NashvillE PussY monter sur scène prêtant main forte à la première partie, pour taper une reprise du Grand Led Zeppelin: Génial!! D’autant que la pulpeuse guitariste du groupe qui ne participait pas, est venue, égale à elle même, mettre de l’animation, plongeant dans le public, et participant à la fête au cœur des spectateurs des tous premiers rangs. Je ne suis pas prêt d’oublier d’avoir eu cette pile surexcitée comme voisine à ce moment là...
Nouvelle virée ravitaillement catégorie malt et houblon, puis direction le devant de scène pour soutenir comme il se doit la vraie tête d’affiche de la soirée.
Le groupe se présente sur scène sous les acclamations de la foule et le show démarre fort avec “Pussy Time” en entrée. Le ton est donné, et le groupe enchaîne les titres “Going Down Swinging”, “High As Hell”, “Piece Of Ass”, “Come On Come On” pied au plancher, avec une envie et un dynamisme transpirant dans les premiers rangs: Que c’est bon bordel!
Les deux chattes officiant respectivement à la gratte et à la basse allument des mâles admiratifs, avec un sex-appeal incendiaire, alors que se succèdent “Good Night For A HearT AttacK”, “Go MotherFucker Go”, “Drunk Daddy”. ça dépote, ça chauffe, ça éclabousse de whisky et de sueur, mais on en redemande!! Et plutôt deux fois qu’une!
Suivent donc: “One Way Down”, “Hell Aint What Iit Used To Be”, “Struttin’ Cock”, “I’m The Man”, “Nutbush City Limits”, et point de repos, les morceaux se succèdent très rapidement, ce qui donne une sensation de densité, jouissive à souhait, le support visuel féminin aidant...les deux Pussy, Ruyter Suys (guitare) et Karen Cuda (basse) jouant la “provoque” se collant l’une à l’autre, ou s’allongeant par terre ou encore à genoux dans une position évocatrice la tête non loin de l’entre-jambes du chanteur-guitariste, avec un regard et un jeu de langue qui ne trompe pas, le tout avec une touche de sensualité vice larde qui a su faire mouche. Certaines personnes dans le public, surtout très jeunes n’en croyaient pas leurs yeux, et certains ont du en mouiller leur caleçon. Pendant ce temps le chanteur balançait coups de pied sur coups de pied, assurant ses parties de gratte avec aisance et charisme, arranguant la foule.
Et ça continue, la pression montant encore d’un cran. Regardez plutôt: “Hate And Whiskey”, “The Bitch Just Kicked Me Out”, “Lazy White Boy”, “She’s Got The Drugs”, “Keep On Fuckin’”, “Going Down Swinging”, et la charmante Ruyter Suys (guitare) de se dessaper pour se retrouver en petite culotte et en soutif (biens garnis!). Et un petit chanceux à la fin du set qui a vu la belle se coller à lui et l’embrasser...
Je n’aurais pas eu ce plaisir là; mais, un plaisir en valant un autre, j’ai pu boire une très grosse rasade de Johnny Walker Red Label de la main de l’ami chanteur, Blaine Cartwright, qui me tenait la bouteille. Il devait craindre que je la garde, et il avait bien raison...En tous cas ça m’a fait un bien fou. Après cela, la bassiste a bu un coup après moi, essuyant au préalable la bouteille sous ses aisselles. Encore quelques banderilles survoltées et le show se termina; le public était heureux: un grand, très grand moment.
Quelques autographes, quelques mots échangés avec les membres du gang du Kentucky à leur sortie de scène, et puis s’en vont. C’est la première fois qu’une nana me signe un autographe en dessous, et inutile de dire que je n’ai pas regardé ce qu’elle faisait, mon regard était comment dire, occupé ailleurs; un dernier sourire (et quel sourire) et puis s’en va...
Sex Drugs & RocK’N’RolL! Un putain de concert comme j’aimerais en voir bien plus souvent, avec un groupe en grande forme, égal à lui même.
Putain, vous revenez quand vous voulez, enflammer les planches, et c’est moi qui fournirait le Sky la prochaine fois. See You!!!
Retour au Bar, et CiviL WaR pointa le bout de son nez, mais désolé les gars, ça sera sans moi, je ne pouvais écouter rien d’autre après un tel putain de concert!
PUSSY TIME! KEEP ON ROCK BABY!!!
C’est dans un cadre atypique, les jardins de l’ancien Palais des rois de Majorque, que doit se produire ce soir, les Chattes de Nashville. Et, on peut dire que l’attente était grande, trois ans après leur dernier passage dans la cité catalane, au Crockmore. Autant dire, que nous sommes particulièrement chanceux; et que plus de 1.500 personnes n’ont pas boudé leur plaisir, se déplaçant, pour assister à la prestation, attractive, tant musicalement que visuellement: dans les deux cas, ça dépote sévère, mais nous y reviendrons...
A l’entrée du Palais, une pancarte, indiquait que le combo ricain aux mœurs légères, se produirait finalement en seconde position, au lieu de clôturer la soirée, laissant cette tache aux locaux de CiviL WaR. Le groupe sudiste devant jouer le lendemain en Hollande à 1.300 Km de là (drôle d’organisation...).
Rentré tôt dans les lieux, direction le bar, premières bières, et petite visite de la partie accessible du Palais, à la tombée de la nuit, ce qui lui procure un charme certain, lui ajoutant une part de mystère que ne peut lui offrir la lumière du jour.
C’est un groupe de la région orléanaise, CooL KlepS, qui entame les hostilités, même si dans son cas ce terme est plus qu’abusif; la prestation plate ne cassant pas deux pattes à un canard. Le binôme, constitué d’une nana au synthé, jouant la rythmique dans le même temps, aux pieds via une grosse caisse et un tambourin , et un gars à la gratte et au chant, avec cette désagréable impression durant la majorité du set d’entendre toujours le même morceau.
Retour au bar. Et comme souvent, c’est au moment où l’on s’y attend le moins que les bonnes choses arrivent: le chanteur prenant le micro à la fin du set annonce qu’ils allaient interpréter un morceau du plus grand groupe de RocK de l’histoire. Je me rapproche rapidement voyant des musiciens de NashvillE PussY monter sur scène prêtant main forte à la première partie, pour taper une reprise du Grand Led Zeppelin: Génial!! D’autant que la pulpeuse guitariste du groupe qui ne participait pas, est venue, égale à elle même, mettre de l’animation, plongeant dans le public, et participant à la fête au cœur des spectateurs des tous premiers rangs. Je ne suis pas prêt d’oublier d’avoir eu cette pile surexcitée comme voisine à ce moment là...
Nouvelle virée ravitaillement catégorie malt et houblon, puis direction le devant de scène pour soutenir comme il se doit la vraie tête d’affiche de la soirée.
Le groupe se présente sur scène sous les acclamations de la foule et le show démarre fort avec “Pussy Time” en entrée. Le ton est donné, et le groupe enchaîne les titres “Going Down Swinging”, “High As Hell”, “Piece Of Ass”, “Come On Come On” pied au plancher, avec une envie et un dynamisme transpirant dans les premiers rangs: Que c’est bon bordel!
Les deux chattes officiant respectivement à la gratte et à la basse allument des mâles admiratifs, avec un sex-appeal incendiaire, alors que se succèdent “Good Night For A HearT AttacK”, “Go MotherFucker Go”, “Drunk Daddy”. ça dépote, ça chauffe, ça éclabousse de whisky et de sueur, mais on en redemande!! Et plutôt deux fois qu’une!
Suivent donc: “One Way Down”, “Hell Aint What Iit Used To Be”, “Struttin’ Cock”, “I’m The Man”, “Nutbush City Limits”, et point de repos, les morceaux se succèdent très rapidement, ce qui donne une sensation de densité, jouissive à souhait, le support visuel féminin aidant...les deux Pussy, Ruyter Suys (guitare) et Karen Cuda (basse) jouant la “provoque” se collant l’une à l’autre, ou s’allongeant par terre ou encore à genoux dans une position évocatrice la tête non loin de l’entre-jambes du chanteur-guitariste, avec un regard et un jeu de langue qui ne trompe pas, le tout avec une touche de sensualité vice larde qui a su faire mouche. Certaines personnes dans le public, surtout très jeunes n’en croyaient pas leurs yeux, et certains ont du en mouiller leur caleçon. Pendant ce temps le chanteur balançait coups de pied sur coups de pied, assurant ses parties de gratte avec aisance et charisme, arranguant la foule.
Et ça continue, la pression montant encore d’un cran. Regardez plutôt: “Hate And Whiskey”, “The Bitch Just Kicked Me Out”, “Lazy White Boy”, “She’s Got The Drugs”, “Keep On Fuckin’”, “Going Down Swinging”, et la charmante Ruyter Suys (guitare) de se dessaper pour se retrouver en petite culotte et en soutif (biens garnis!). Et un petit chanceux à la fin du set qui a vu la belle se coller à lui et l’embrasser...
Je n’aurais pas eu ce plaisir là; mais, un plaisir en valant un autre, j’ai pu boire une très grosse rasade de Johnny Walker Red Label de la main de l’ami chanteur, Blaine Cartwright, qui me tenait la bouteille. Il devait craindre que je la garde, et il avait bien raison...En tous cas ça m’a fait un bien fou. Après cela, la bassiste a bu un coup après moi, essuyant au préalable la bouteille sous ses aisselles. Encore quelques banderilles survoltées et le show se termina; le public était heureux: un grand, très grand moment.
Quelques autographes, quelques mots échangés avec les membres du gang du Kentucky à leur sortie de scène, et puis s’en vont. C’est la première fois qu’une nana me signe un autographe en dessous, et inutile de dire que je n’ai pas regardé ce qu’elle faisait, mon regard était comment dire, occupé ailleurs; un dernier sourire (et quel sourire) et puis s’en va...
Sex Drugs & RocK’N’RolL! Un putain de concert comme j’aimerais en voir bien plus souvent, avec un groupe en grande forme, égal à lui même.
Putain, vous revenez quand vous voulez, enflammer les planches, et c’est moi qui fournirait le Sky la prochaine fois. See You!!!
Retour au Bar, et CiviL WaR pointa le bout de son nez, mais désolé les gars, ça sera sans moi, je ne pouvais écouter rien d’autre après un tel putain de concert!
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ANCIENT CULT OF DEATH
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Re: Nashville Pussy - Perpignan le 22/07/2006
HelhenD a écrit:NashvillE PussY, Perpignan, Palais des rois de Majorque, le 22.07.06
Je n’aurais pas eu ce plaisir là; mais, un plaisir en valant un autre, j’ai pu boire une très grosse rasade de Johnny Walker Red Label de la main de l’ami chanteur, Blaine Cartwright, qui me tenait la bouteille. Il devait craindre que je la garde, et il avait bien raison...En tous cas ça m’a fait un bien fou. Après cela, la bassiste a bu un coup après moi, essuyant au préalable la bouteille sous ses aisselles. Encore quelques banderilles survoltées et le show se termina; le public était heureux: un grand, très grand moment.
Ah c'est toi ! On était vraiment pas loin du tout alors, j'était à 5 - 6 personnes de toi à ta droite Quelle gorgée tu nous a fait Meme le chanteur n'en croyait pas ses yeux
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Re: Nashville Pussy - Perpignan le 22/07/2006
Le Whisky c'est ma grande faiblesse
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